Dvar
Paracha de la semaine
Livre de Vayikra
Paracha Emor
Je pleure parce que je ne pleure pas




Je pleure parce que je ne pleure pas
Le blasphémateur.la paracha commence par l’éloignement des cohanim de l’impureté, l’exclusion des infirmes du service du Temple, ainsi que de l’empêchement des impurs et des non cohanim de sacrifier, et des temps fixés pour que le sacrifice reste valable.
Il est question des fêtes d’Hachem qui sont sanctifiées par un rassemblement saint et l’offrande des sacrifices appropriés. L’accent est mis sur l’importance du Nom d’Hachem dans le passage sur le châtiment de celui qui a maudit ce Nom H’’V, et des lois concernant celui qui porte atteinte au corps de l’homme .
HALAKHOT
Il est interdit, le Chabat, de frapper les mains l’une contre l’autre ou contre la cuisse, ou de danser, de peur qu’on en vienne à réparer un instrument de musique. Il est même défendu de battre la mesure, en frappant du doigt sur le sol, sur une planche ou l’un contre l’autre, à la manière des musiciens, de secouer des noix pour un enfant et de faire sonner des clochettes pour jouer avec lui et le calmer.Tout cela et ce qui y ressemble est interdit par mesure préventive, de peur qu’on en vienne à réparer un instrument de musique ; en revanche, battre des mains d’une manière inhabituelle est permis. [Concernant les ashkénazes, voir Réma 339 § 3 et Michna Béroura, ibid. 339,10.].
Il est interdit aussi de s’épiler ou de se couper les ongles ou de le faire à d’autres, avec la main ou à l’aide d’un instrument. On est coupable dès lors qu’on a arraché au moins deux poils ou même un poil blanc entre des poils noirs, ceci étant défendu même le reste de la semaine à cause de l‘interdiction : « Un homme ne portera pas les vêtements d’une femme ».
Celui qui efface de l’encre sur un parchemin ou des lettres écrites à la cire sur une tablette est coupable s’il est possible de tracer au moins deux lettres sur la partie effacée. On veillera à ne pas écrire avec le doigt en formant des lettres avec un liquide répandu sur la table ou avec la poussière.
HISTOIRE
Au cours du troisième jour de la Guerre des Six Jours, en 1967, les soldats israéliens parvinrent finalement à pénétrer en armes dans la zone du Kottel Hama'aravi (Mur Occidental du Temple). Quand les soldats, jeunes et vieux, arrivèrent au mur, ils se mirent à pleurer en caressant et en embrassant respectueusement le dernier vestige du Beth Hamikdach (le Temple Sacré). C'était en grande partie pour atteindre ce jour et libérer ce lieu sacré, interdit aux Juifs depuis plus de vingt ans qu'ils s'étaient battus.Et aujourd'hui, c'est au prix de nombreux tués et blessés qu'ils l'avaient arraché aux griffes de l'ennemi. L'image de ces soldats bouleversés et en larmes est gravée à tout jamais dans la mémoire de ceux qui les ont vus.
Un peu en retrait de la foule qui se pressait autour du Kottel, se trouvaient deux soldats venus d'un kibboutz non religieux. Ils n'avaient reçu aucune éducation religieuse,et ignoraient la sainteté et la signification du lieu où ils se trouvaient. Ils regardaient autour d'eux, envahis par un sentiment de solitude, quand l'un d'eux éclata en sanglots. Son compagnon, surpris par cette réaction inattendue, se tourna vers lui et lui demanda : "Pourquoi pleures-tu" ? L'autre, leva ses yeux pleins de larmes et répondit avec tristesse "Je pleure parce que je ne pleure pas "
Source: Rav Acher Fitoussi
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